LEJEUNE-BONNIER Éliane

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Éliane Lejeune-Bonnier, Sartrouville, 2012 © Photo Jean Alain Joubert
Éliane LEJEUNE-BONNIER [1921-2015]
compositrice, pianiste, organiste, professeur

Madame Lejeune-Bonnier nous a quittés, lundi matin 16 mars 2015, à l’âge de 94 ans

ÉVOCATION pour Éliane Lejeune

Éliane ADAM
20 mars 2015
Chère Éliane,
 
Le Seigneur vous a fait patienter un certain temps avant de réaliser votre désir profond de le rejoindre.
Ces dernières années, vous avez souffert, vous avez offert ces événements.
Nous sommes tristes de nous quitter, mais « tout à une fin ! » comme vous saviez si bien le dire !
Vous disiez aussi : « cette année je ne fêterai pas Noël » ! …et nous montons vers Pâques, nous sommes le 20 mars 2015, jour du printemps.
Vous attendiez votre départ pour la maison du Père, dans la paix. Par cette attente, le Seigneur s’est révélé être le Maître de votre vie.
Aujourd’hui, dans la foi au Christ ressuscité, malgré notre tristesse, nous sommes heureux, émus, de vous entourer avec vos neveux, vos amis de la musique, et ceux de notre communauté Saint-Joseph.
 
Heureux de nous souvenir des moments créatifs si nombreux : 
¤ Vous êtes bardées de prix : 10 prix internationaux.
¤ Vous êtes reconnue et appréciée par le monde de la musique, comme femme compositrice, improvisatrice, professeur d’orgue, vous avez accompagné à l’orgue, au clavecin, au piano, de nombreuses rencontres officielles, amicales, et avez servi bénévolement notre communauté pour accompagner les célébrations à l’orgue, avec talent et profondeur.
¤ La dernière fut pour le jour de Noël 2011 pour laquelle le Père Matthieu Williamson, alors curé de notre paroisse vous a particulièrement remerciée, car nous étions pour cette fête en défaut d’organiste.
 
Pierre Sala, un de nos anciens curés, exprime bien ce que nous ressentons :
            « Je pense qu’il y a de belles musiques dans le cœur de Dieu »
 
La communauté offre aujourd’hui vos nombreuses expressions musicales et belles improvisations qui portaient notre cœur à la prière.
 
La Fraternité Magdaléna Aulina n’oublie pas votre présence régulière depuis sa création. Elle est touchée par votre prière quotidienne à Magdaléna Aulina.
 
Personnellement, j’ai aimé feuilleter mes souvenirs avec vous, comme en tournant les pages d’un livre.
 
Que de bons moments passés ensemble : au moment des fêtes, pour un 31 décembre, avec d’autres amies seules.
 
Il y a aussi le petit concert de musique chez vous pour nos 40 ans de mariage avec des œuvres pour piano de Louis Aubert que la communauté vous avait offertes à l’occasion de vos 80 ans avec les heures d’amitiés pour lesquelles vous organisiez des rencontres musicales dans votre petit salon, que vous présentiez avec finesse et compétence pour le régal de chacune.
 
Il y a aussi votre présence méritoire, à cause des escaliers de la crypte et de votre fatigue avec notre amie commune, Clotilde, qui comme vous, s’est félicitée d’avoir fait l’effort de nous entourer pour nos 50 ans de mariage.
 
Mais surtout, je n’oublierai jamais ces temps d’échange, de partage intense de la Parole de Dieu quand je vous apportais la communion, temps pour lesquels je rends particulièrement grâce.
 
Vous étiez curieuse de tout, de cette bonne curiosité, patiente, généreuse, joyeuse, si humble et discrète, riche de multiples talents que vous avez fait fructifier. Ceux qui ont pris conseil auprès de vous ont beaucoup reçu.
 
On est quand même très surpris de retrouver la trace de votre passage en tant qu’enseignante un peu partout en France ! Professeur d’orgue, de piano, d’harmonie. Combien d’élèves ont bénéficié de vos précieux et bienveillants conseils.
 
Ceux qui vous ont eu au conservatoire de Montesson, en classe d’orgue, se sont retrouvés ici à Saint Joseph pour jouer. Certains ont accompagné nos célébrations et ont poursuivi leur chemin brillamment ! Je pense à Yves Castagnet, organiste à Notre Dame de Paris.
 
Tous ceux que vous avez conseillés, encouragés, veulent vous remercier pour votre douce et ferme patience, pour votre gentillesse, votre manière de donner tout ce que pouviez apporter et gratuitement.
 
La musique était votre passion, vous l’avez transmise avec joie.
 
Un de nos curés, Père Mathieu de Raymond m’a écrit :
 
            « Les anges doivent se réjouir d’accueillir cette demoiselle si douée en musique ! »
 
            « Éliane, vous êtes une “Grande Dame” ! qui laissez une marque indélébile ! »
 
Ce n’est pas moi qui le dit. C’est l’expression de notre précédent curé, Père Matthieu Williamson, et il est certain que nous la partageons tous.
 
L’autre Éliane aime imaginer que vous avez entendu la voix du Seigneur :
 
            Éliane, « Bonne et fidèle servante, entrez dans la joie de vôtre Maître » !
 

 

Un concert-hommage a été donné à la Paroisse Saint-Joseph de Sartrouville, le 5 juin 2016.

 

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Éliane Lejeune -Bonnier nous a quittés (1921-2015)

 21 mars 2015
« Elle fut soliste de l’O.R.T.F. et a donc joué de nombreuses fois sur le fameux orgue du studio 104 de la Maison de la Radio.
Bien qu’elle ne soit pas très connue, cette grande musicienne a consacré sa vie à la Musique.
C’était aussi une femme admirable humainement.
1er prix du C.N.S.M.P d’Orgue et Improvisation dans la classe de Marcel DUPRÉ.
Elle a été Professeur titulaire des écoles de la ville de Paris et Professeur titulaire au Conservatoire National du Mans jusqu’en 1969.
Elle a été Titulaire de l’Orgue de Chœur de l’église Saint Sulpice à Paris et suppléante du maître Marcel Dupré au Grand Orgue.
Compositrice prolifique elle remporta de nombreux prix internationaux de composition.
Elle a été enterrée vendredi 20 mars 2015, au cimetière du Père Lachaise. »

Mes souvenirs sur Éliane Lejeune

à la paroisse Saint-Joseph de Sartrouville 

Éliane ADAM
Printemps 2017

Nous avons vu Éliane se glisser progressivement sur le banc de l’orgue, sur l’invitation, vers 1967, d’un prêtre musicien, l’Abbé Dequirini.

En 1977-1978, j’ai été appelée à construire une équipe liturgique afin de favoriser une action liturgique plus vraie, plus belle, mieux ajustée à chaque dimanche.

C’est alors que j’ai fait plus ample connaissance avec Éliane. Là, nous nous sommes découvert une formation identique au professorat d’éducation musicale pour les écoles de la Ville de Paris, à quelques années de différence. Nous avons été nombreux dans la communauté à apprécier ses improvisations inspirées qui nous portaient dans la prière.

Les jours de fêtes, en introduction à la célébration, une petite pièce d’orgue nous plongeait dans l’ambiance sacrée du jour. Nous n’oublions pas non plus les brillantes sorties d’orgue.

Ce qui nous a beaucoup aidés, ce sont aussi ses harmonisations de cantiques, souvent à 3 voix : Ô Père, je suis ton enfant, Comme une lampe dans la nuit, Pour que le monde ait la vie…

Éliane a ainsi servi la communauté avec beaucoup d’humilité, de finesse, de compétences, gracieusement.

Elle a accompagné de nombreuses obsèques, des mariages, entre autre ceux de mes deux premiers fils, dont un à Cergy village.

Généreuse, elle essayait de répondre aussi aux demandes des heures d’amitié, qui venaient mensuellement chez elle pour bénéficier d’un petit concert expliqué, à son domicile. Une autre équipe M.C.R.1 a eu, à l’église ,un sympathique concert d’orgue.

Il y a eu aussi des fêtes, orgue à quatre mains, ou piano, orgue avec Catherine Faure, jeune retraitée de l’éducation nationale et fine musicienne, qui a participé à l’hommage rendu à Éliane, en juin 2016 à Saint-Joseph.

Pour nos quarante et cinquante ans de mariage mon époux et moi avons été gratifiés d’un petit concert de piano chez elle. Pour le premier, ce fut en présence de maître Francis-Paul Demillac, avec les œuvres pour piano de Louis Aubert.

Pour ses 90 ans, nous lui avions offert ces partitions après avoir pris conseil auprès de Ludovic Florin, que j’avais par hasard rencontré chez ma belle mère, fille de Pierre Aubert, frère du compositeur Louis Aubert. Ludovic Florin faisait à l’époque une recherche sur Louis Aubert et avait pris contact avec notre famille.

Ludovic Florin a rejoint la journée annuelle consacrée à Louis Aubert à Saint André de l’Eure, chez son gendre, Pierre Redon. L’occasion était de réunir la famille et les musiciens, qui étaient sollicités pour une interprétation. Nous emmenions Éliane Lejeune et maître Demillac ; ils étaient très heureux d’écouter et de participer.

Éliane était d’un esprit curieux de tout et dans sa petite maison à peine sortie de terre, à Sartrouville, elle créait, jouait, sur un de ses deux pianos ou sur son clavecin. Elle accueillait avec le sourire ceux qui venaient à elle. Bénévolement, elle a donné des cours d’harmonie, de piano, d’orgue… Elle participait à la classe d’orgue du Conservatoire de Montesson où Lorenzo Cipriani semblerait avoir pris sa succession, et je sais qu’elle l’appréciait énormément.

Notre communauté a bénéficié un certain temps des services d’un de ses élèves, Yvon Castagnier, désormais titulaire, et depuis un certain temps déjà, d’un poste d’organiste à Notre Dame de Paris.

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1 M.C.R. : Mouvement Chrétien des Retraités.


 Éliane Lejeune-Bonnier sur Credo Music

Dossiers

Évocation-esquisses
Le rayonnement d’un maître

 

 

 

Cet hommage a été écrit et publié initialement en mai 1995 dans le bulletin n° 13 de l’association Les Amis de l’art de Marcel Dupré, sous la direction de M. Bruno Chaumet. Qu’ils soient ici remerciés et salués pour leur action en faveur de notre patrimoine musical. Nous l’avons ensuite republié dans le Bulletin des Amis de la musique française, n° 3 de janvier 2003. 

« TOUT D’ABORD, je remercie l’association des Amis de l’art de Marcel Dupré, de m’avoir invitée à écrire quelques souvenirs sur notre cher Maître.
 
J’étais élève d’Abel Decaux1, successeur de Louis Vierne à l’École César Franck quand j’ai assisté, en 1942, au concours de la Classe d’Orgue de Marcel Dupré, rue de Madrid.
Fascinée par la prestation de Rolande Falcinelli, autant pour l’interprétation du Prélude et Fugue en ré de J.S. Bach, que pour ses improvisations du thème libre et de la fugue, j’écrivais à Marcel Dupré aussitôt après l’obtention des diplômes supérieurs de Piano et d’Orgue à l’École César Franck, en 1943. Par retour du courrier, je fus invitée à venir chez le Maître, à Meudon.
 
Accompagnée de mon père, c’est avec une profonde émotion que je rencontrai pour la première fois celui qui devait devenir l’un de mes plus chers professeurs. Sur sa demande, je me mis au piano. La chance était au rendez-vous car je jouai le Thème et Variations de Gabriel Fauré et un fragment de la Sonate en si mineur de Liszt, deux œuvres qu’il aimait particulièrement. Puis il consulta attentivement mes travaux d’écriture de la classe d’Albert Bertelin (grand prix de Rome). Timidement, je lui présentai aussi mon Quatuor à cordes, en quatre mouvements dont le final est bâti en forme de (fugue-sonate), ce qui n’était pas pour lui déplaire. Enfin, je m’installai devant la splendide console d’orgue de l’Auditorium de Meudon pour exécuter le Prélude et Fugue en ré de J.S. Bach.
 
À l’issue de ces épreuves, l’ambiance devint très chaleureuse : « Voulez-vous faire partie de mes p’tits élèves du Conservatoire ? ». Il fallait donc travailler l’improvisation pour réaliser ce rêve de rentrer dans la classe de Marcel Dupré.
Un plan de travail fut aussitôt établi par lui :
1. Révision rapide du contrepoint tonal et modal, du contrepoint renversable, du double chœur et de la fugue ainsi que de la double fugue afin de m’imprégner de sa technique d’écriture.
2. Analyse complète des deux volumes du Clavier bien tempéré de J.S. Bach.
3. Exercices préparatoires à l’improvisation dans le premier volume de son Cours complet d’improvisation à l’orgue.
Ce fut une année de préparation inoubliable dans le cadre privilégié de Meudon ; malheureusement, mon état de santé a retardé pendant plusieurs années mon entrée au Conservatoire.
 
Lors de sa tournée au Canada, en 1946, Marcel Dupré prit le temps de m’écrire quelques lettres pleines de sollicitude :  
« Vous avez si courageusement consenti à tout ce que je vous ai demandé au point de vue contrepoint et fugue… Au retour, je vous conseillerai en toute conscience pour votre avenir ». J’ai toujours été impressionnée par le don de prévoyance du Maître en ce qui concerne la réussite d’une carrière. Il ne fallait surtout pas faire obstacle à ce que Marcel Dupré avait décidé, en son âme et conscience, pour chacun d’entre nous.
 
Enfin, avec joie, tout en passant le concours de la Ville de Paris, dans la section musicale, j’étais reçue, en 1950, dans la Classe d’Orgue. Encore quelques années inoubliables ! II y eut un nouvel arrêt médical de deux années consécutives mais, toujours avec la même sollicitude, Marcel Dupré m’écrivait de son lieu de villégiature, à Cheviré : « Vous savez que depuis longtemps, je me tourmente de vous voir faire ce métier épuisant d’enseignement dans les Écoles de la Ville de Paris ».
 
Ainsi, après l’obtention du premier prix, il me conseilla avec insistance de poser ma candidature en vue d’une création de classe d’Orgue et d’Improvisation au Conservatoire National du Mans.
 
Sans la moindre hésitation, afin de suivre les conseils de mon cher Maître, j’obtins un congé pour convenances personnelles à la Ville de Paris avec tous les risques que cela comportait, pour préparer ce nouveau concours, sous la présidence d’Amable Massis, inspecteur général de la musique, de Pierre Cochereau alors directeur du Conservatoire du Mans, accompagnés de quelques élus locaux.
 
Si je parle ainsi de mes souvenirs avec Marcel Dupré, c’est pour mieux témoigner de sa générosité, de sa bonté et de sa sollicitude envers ses élèves.
 
Je tiens également à souligner son étonnante patience pour nous initier à l’art de l’improvisation. Quant à l’exécution, le legato2 et le staccato faisaient partie de ce qu’il appelait fréquemment : « La clarté du jeu ». Enfin, les annotations peu nombreuses sur les partitions étaient finement écrites au crayon. Cette habitude, je l’ai gardée tout au long de mes années d’enseignement. S’il y a le respect des textes musicaux, il y a aussi le respect des partitions.
 
Ce cher Maître semblait toujours avoir « tout son temps ».
 
Il aimait, pour la détente, raconter de belles histoires vraies. C’était un fin conteur. S’il lui arrivait de perdre le fil d’une anecdote, madame Dupré avait plaisir à le remettre dans le droit chemin lorsqu’ils étaient en société. N’oublions pas ce petit livre précieux pour ses amis, Marcel Dupré raconte dans l’édition Bornemann, paru en 1972, un an après sa disparition.

Puis-je terminer par deux souvenirs personnels qui m’ont profondément touchée ? D’abord, mes remplacements au Grand Orgue de Saint-Sulpice : certains mois d’août, lorsque le Maître et sa fidèle assistante, Françoise Renet, prenaient leurs vacances, je recevais avec surprise un petit mot de lui : « Je suis ravi de cette occasion de Saint-Sulpice pour vous et c’est avec grand plaisir que je vous confie mon orgue. Est-ce que vous avez pensé un quart de minute que j’allais être assez méchant pour vous le refuser, alors que je suis aussi content que vous de l’occasion ! ».

Autre souvenir qui concerne son ami Léon Biautte, Organiste à l’église N.-D. de la Couture au Mans. Marcel Dupré m’avait fait promettre d’aller voir de temps en temps son cher ami, déjà âgé et infirme. Je me fis un devoir d’aller chaque semaine lui faire une visite, avant de reprendre le train pour Paris. Un jour, M. Biautte tomba dans le coma. Je prévins tout de suite le Maître qui se prépara aussitôt à prendre le train pour le Mans. Il eut la joie de revoir ce grand musicien, de pouvoir converser avec lui pendant une demi-heure avant qu’il ne retombe dans un nouveau coma. Quelques jours plus tard, Marcel Dupré voulut que nous partagions le banc d’orgue pour les obsèques, lui exécutant les pièces d’orgue et moi accompagnant le chant grégorien.
 
Je me souviens aussi, pendant certains cours particuliers, d’une petite halte de la part du Maître, me rappelant la parabole des dix lépreux. Oui, « des dix lépreux, un seul est venu remercier le Seigneur ». A ce moment, il se dégageait une sourde mélancolie ! Marcel Dupré aurait-il été blessé par quelque acte d’ingratitude ?
 
Quand il connaissait ou devinait les difficultés financières de nos jeunes années, il disait : « mon p’tit, mettez cela dans votre poche ! ». Les leçons étaient alors gratuites… et l’heure avait une élasticité qui nous confondait.
 
À la leçon suivante, j’apportais dans un joli panier les plus beaux fruits de notre jardin de banlieue… il y avait encore une certaine pénurie à cette époque !
 
Quant au cours d’auditeurs à Meudon, nous aimions marquer la saint Marcel par de petits bouquets de violettes que nous glissions dévotement et discrètement sous le pupitre en bois tout près de l’orgue.
 
Nous avions, les uns et les autres, un immense respect pour notre Maître, si exigeant pour une discipline de vie et de travail.
 
 
Éliane Lejeune-Bonnier
Professeur honoraire (Orgue, Improvisation, Harmonie,
Contrepoint, Fugue, Déchiffrage au Piano)
au Conservatoire National du Mans.
Organiste honoraire de la Cathédrale du Mans.
 
__________________________
1.  cf. article sur Abel DECAUX (1869-1943) par E. Lejeune-Bonnier. Revue L’Orgue n° 210, avril–juin 1989.
2.  II y aurait lieu, dans ce cas, de dissiper un certain malentendu lorsque Marcel Dupré exige le « legato absolu à l’Orgue». Cela voulait dire pour lui que le legato devait être parfait, c’est-à-dire « ni sec, ni pâteux ». (Note personnelle de Rachel Brunschwig, ancienne élève de Marcel Dupré) 
 

Portfolio

Maitre Demillac, Eliane Lejeune-Bonnier

Chatou, novembre 2001. De gauche à droite : Marie-Françoise Guilhem [petite-fille du compositeur Louis Aubert], son père Pierre REDON [gendre du compositeur], Ludovic Florin, musicologue, Éliane Lejeune-Bonnier [compositrice, pianiste, organiste, professeur] , maître Francis-Paul Demillac (alias Enyss Djemil), compositeur, directeur de conservatoire, élève et ami de Louis Aubert. Crédit photographique Jean Alain Joubert

 

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Crédit photographique : Jean Alain Joubert, 2012 & 2014

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